Collection Soumise. Fille De… (6/15)

C’est fait, je pense que j’ai réussi ma mission, qui plus est dès le premier jour ou je l’ai approché, Mariane est tombée dans mes filets comme un fruit mûr, j’ai eu la chance d’être là au bon moment, celui ou elle s’interrogeait sur le bien ou le mal qui lui avait été enseigné depuis sa plus tendre enfance.
Comme moi, c’est une fille de…, elle cumulait, la totalité des handicaps que nos pères et mères inculquaient en nous.
Nous devions devenir des filles dociles, formées aux plaisirs de nos maris sans pour autant avoir le moindre droit à la parole.
C’est grâce à Pierre qui a fait de moi sa maîtresse que je me suis moi-même échappée de leurs carcans, je suis fière de ma vie indépendante que je vis par l’intermédiaire de deux hommes.
Mon amant Pierre qui m’a dépucelé et monsieur Joseph qui se contente de se faire sucer et qui veut que je les aide à corrompre des personnes comme Mariane.

De retour chez ma grand-mère de façade, un peu décontenancée de devoir quitter celle qui je le sens à autant de potentiel dans sa chatte que j'en ai dans la mienne, rhabillé, je rentre sans avoir oublié mon sac à main.
Quand il me l’a remis, monsieur Joseph m’a fait voir comment mettre en marche mon portable en mode caméra cachée à l’intérieur et après l’avoir branché sur mon ordinateur portable lui envoyant rapidement le film que j’ai tourné en baisant Mariane.
Correct, certes, l’angle est un peu décalé, mais on voit très nettement la petite sur la table puis dans son lit, je m’aperçois de ce que j’aurais pu lui faire, j’ai été trop tendre avec elle, dommage que pour le moment, je vais devoir l’abandonner.
Je pourrais mettre le mot fin quand le moment où j’ai arrêté de filmer pour venir ici s’arrête, mais je suis tentée de redémarrer afin de finir le travail commencé par mes doigts qui me caressent le clito.
Je me renverse sur ma chaise, espérant que grand-mère dort profondément quand le plaisir une nouvelle fois m’assaille et que je suis à la limite de hurler.



Ce que j’ai oublié, c’est que je suis entrée en connexion avec monsieur Joseph et que la caméra de mon portable lui a envoyé les images du plaisir que j’ai eu en me masturber.

• Merci de ce moment de jouissance que tu viens de te procurer, laisse nous quelles minutes pour que Pierre qui vient d’arriver regarde si les images que tu as tournées nous conviens.
• Bonsoir, Jessika, je viens de voir juste au moment où j’arrivais que tu saches toujours te servir de tes doigts, je suis seul ce soir et je crois que je vais faire un double des images prises avec ta petite blonde pour aller, moi aussi me taper une pignole.

Un temps passe et ils reviennent.

• Jessika, ce que tu as tourné, est parfaite, mais.

Ouf, il y a un mais le parfait pouvant me renvoyer à des lieux de ma nouvelle amie.

• Mais une fille baisant avec une autre fille peut paraître banale à un père même rigoriste, l’hymen de sa progéniture étant protégé si tu ne vas pas jusqu’à la fister, ce qui n’est pas le cas sur tes images.
Essaye de lui faire faire une scène plus hard, papa comprendra que l’on ne plaisante pas quand nous lui ferons du chantage afin qu’il suive notre projet sinon la vidéo de sa petite fifille se retrouvera sur Internet.
Tu vois, je te dis tout, libre à toi de compléter l’éducation de ta jeune élève dont tu sembles être très proche maintenant ou de rentrer près de nous.
• Joseph a raison ma chérie, j’aimerais que ta petite chatte me revienne très vite, mais notre projet est prioritaire et je veux bien te sacrifier au profit de ta petite pute, je connais bien les femmes, tu t’en sois aperçu, et je sens que les images que tu vas tourner me serviront pour mes vieux jours.
• Comptez sur moi, je vais, moi aussi être franche, rentrer à Paris m’aurais frustré, je trouve ce jeu fort divertissant et j’aimerais l’amener plus loin, j’ignore encore comment, mais la chance qui me caractérise va certainement encore m’arriver.

• Nous comptons sur toi, nous savons que tu réussiras, prend en du plaisir avant de retrouver nos vieilles queues, préviens-nous quand tu auras réussi.
• Bise les gars, masturbé vous ensemble devant ma chatte.

Je prends mon portable que je penche afin que la caméra leur montre mon clito qui bandant est sortie de son capuchon.
Au moment où je coupe la liaison, j’ai le temps d’entendre.

• Une vraie salope.

Mes deux mentors ont raison, je suis une salope, qui ferais à une jeune fille ce que je fais à Mariane surtout depuis que je vous ai fait comprendre que je tourne des images pour faire prendre une décision contraire à ses principes à son père.
Quand il verra ce que sa fifille chérie est capable de faire quand je l’aurai filmée dans une situation encore plus compromettante qu’il me reste à trouver ou à provoquer, aura-t-il le choix, je comprends à ce moment ce que j’ai déjà dit sur les requins.

Après une bonne nuit qui se termine à 13 heures, toutes ces émotions m’ont creusé, mais surtout fatigué nerveusement, je me réveille fraiche comme un gardon.
Je m’habille, relie mon portable que comme me l’a fait voir monsieur Joseph, je l’ai mis en charge toute la nuit dans mon manteau à un endroit que monsieur Joseph a aménagé avec sur le devant une broche en forme de petit ours blanc où se cache l’objectif et la mise en service de la caméra quand je lui appuie sur le nez.
Il y a des gens inventifs, quand je me regarde dans ma glace, aucune sur-épaisseur ne montre le système me permettant d’enregistrer des vidéos.
Je frappe chez Mariane, j’espère qu’elle n’a pas fui de honte d’être tombé dans la débauche, du mois pour elle avec son éducation qui est un peu mienne.

• Bonjour madame, excusez-moi de vous déranger.
• Nullement, j’allais partir, à la demande de son père qui me rémunère, je viens tous les jours, même quand il n’y a personne ouvrir la maison et comme aujourd’hui faire à manger à sa fille, je la connais depuis qu’elle est né, c’est une perle très vertueuse de surcroit.

Je ne sais pas ce qu’elle a fait hier, elle a dévoré mon coq au riesling, vous la trouverez dans sa chambre, écoutez là, elle chante comme un pinçon, depuis que je la connais, je ne l’ai jamais sentie si gai.

La femme d’une cinquantaine d'années semble en mal de confidences, ou c’est simplement une commère qui aime jacasser sur tout et rien, bien qu’il y ait un fond de vérité.

• Chaque fois qu’elle vient, je la trouvais de plus en plus renfermée, il faut dire que l’éducation que lui fait subir son père sous couvert d’une éducation frisant le sectarisme peut marquer une jeune fille.
Si vous êtes son amie Jessika, c’est le prénom que j’ai entendu des dizaines de fois dans les chansons qu’elle chante en boucle, arrangez-vous pour qu’elle garde ces morales jusqu’à la fin de son séjour.
Au revoir, j’espère à bientôt.

Elle remonte la rue et j’entre, Mariane est dans son bain ou elle chante, je me déshabille sur son lit, démarrant la caméra du portable, l’angle de vison me permettant de voir la baignoire ou je vais la rejoindre, bien que j’aie pris un bain en me réveillant.

• Jessika, viens me rejoindre, je vais te frotter le dos.

On se frotte le dos, comme dit la chanson et le dos, et le dos, et la chatte, et la chatte, et la bouche, et la bouche, alouette, gentille alouette.
C’est ce que nous chantons à tue-têtes, comme deux folledingues que nous sommes.

• Que fais-tu maintenant ?
• J’ai envie de sortir pour crier au monde que je suis heureuse.
Je suis heureuse, je suis heureuse.

C’est, as-tu tête qu’elle crie qu’elle est heureuse, je me place au-dessus d’elle et c’est avec avidité qu’elle m’empoigne les fesses, plaquant sa figure sur ma chatte.
C’est une élève douée, elle reproduit à la perfection ce que je lui ai appris hier, sa langue friponne essaye d’entrer le plus loin possible en moi.
Je sens sa main, plutôt ses doigts, qui viennent au secours de sa langue et me pénétrer me faisant couler, j’ai l’impression d’uriner tellement je coule, elle sort ses doigts, ramenant sa main sur le devant.

Je manque défaillir, mes jambes me portent à peine, je les écarte et sa main chemine en moi, elle cherche à la faire entrer et contrairement à ce que je pensais, elle y arrive.
C’est fini, mes jambes refusent de me porter, dans une gerbe d’eau, je m’écroule sur mes fesses dans un immense cri de plaisir très court et intense, sa main m’abandonnant par obligation.
Demain, la femme de service aura du boulot à tout remettre en l’état, il est vrai que nous sommes loin d’être à demain, d'autant plus que Mariane semble dans les meilleurs des dispositions pour que j’aie mes images pour son gentil papa.
Je l’aide à sortir du bain et je l’essuie, lui prenant la main, je l’entraîne vers son armoire, j’évite sa chatte, si je dois lui faire franchir une étape dans sa débauche, ce n’est surement pas ici que je trouverais ce qu’il nous faut.

• Mariane, je t’invite à manger ce soir à Strasbourg, il est impossible que je t’emmène dans cette grande ville dans tes tenues, dommage que je sois plus grande que toi, je t’aurais prêté des tenues plus sexy, plus en rapport avec ta beauté.
Y a-t-il une boutique dans la ville où nous pourrions t’acheter une tenue plus jeune.
• Sur la place au bas de la rue, il y a une boutique où l'on va trouver ce que tu cherches pour moi, du moins je l’espère, mais il va falloir que j’appelle mon père pour qu’il charge mon compte en banque.
• Taratata, pas d’appel vers papa, je serais heureuse de te payer des affaires pour faire de toi une autre femme, le choix que tu as fait hier de lâcher les chevaux, ça se fête, surtout quand je vois le moral que tu affiches ce matin.
• Mais toi ?
• Mon mec me met régulièrement de l’argent sur mon compte, il m’en donne autant que j’en veux et il m’est impossible de tout dépenser, autant que ce soit toi qui en profites.

Je vois à son regard qu’elle pense que je suis une jeune fille qui se prostitue auprès de son mentor, même si c’est un peu vrai, je m’en fous, n’ai-je pas touché 10 000 € pour mes faux frais dans cette mission.

Je récupère le manteau, j’appuie sur le nez de mon ourson arrêtant le film, les images filmées par la caméra, même si elles sont très suggestives, serviront à mes amants à se palucher, s’ils jugent une nouvelle fois qu’elles ne sont pas suffisantes.

Nous trouvons la boutique et je trouve ce qu’il nous faut sauf un manteau, elle enfile ses nouvelles affaires et elle garde provisoirement celui qui lui servait à aller à la messe.
Nous passons chez la coiffeuse voisine, pas de place, sans problème nous récupérons ma voiture direction Strasbourg où j’espère trouver le moyen de filmer mon amie dans une situation plus compromettante permettant le chantage envers son père…

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